Critique d’André Antébi –
L’œil brillant du clown, alerte, naïf, effaré, le nez presque rouge, trois corps présents et généreux, engagés autour d’une pièce tout droit sortie de l’univers poétique, loufoque, baroque, barré d’Eugène Durif. Voilà le décor. Rien de plus. Un plateau vide....