Critique •
Critique de Djalila Dechache – Peut-on danser un plan de paix ? A la fois titre complémentaire du spectacle et titre de la brochure de rentrée de la Maison des Métallos, « Je suis venue » est une proposition artistique atypique. Dans la salle nue, sombre, une carte géographique raturée de type colonial... 
Critique •
Critique de Audren Destin – « C’est une pièce qui ne manque pas de qualités. Elle manque simplement d’intérêt ». Dans la navette pour rentrer à Paris, c’est ainsi qu’une femme concluait une conversation d’un quart d’heure avec son amie sur la pièce à laquelle elles venaient d’assister.... 
Critique •
Critique de Audren Destin – Atavisme, ou le syndrome Korsakov On connait la prédisposition des bretons pour la boisson. Comme disait le marin, « horizon pas net, reste à la buvette ». L’homme qui nous intéresse aujourd’hui et dont l’étrange histoire est à l’origine de ce spectacle... 
Critique •
Critique de Dashiell Donello– Il y a plus d’un siècle Anton Tchekhov (1860-1904) présenta au théâtre d’Art ses pièces « Oncle Vania » et « Les trois soeurs ». Si on lui avait dit que des spectateurs en 2011 verraient « Une autre vie », pièce de Brian Friel avec deux personnages extirpés... 
Critique •
Critique de Anne-Marie Watelet – En partenariat avec le festival d’Automne à Paris et dans le cadre de l’année France-Mexique, on a pu voir la compagnie Lagartijas tiradas al sol – deux représentations, les 11 et 12 octobre – au Théatre des Arts à Cergy (Yvelines), avant d’être... 
Critique •
Critique de Denis Sanglard – « Bienvenue à l’hôtel Californie. Oh quelle belle surprise. Ramène tes alibis . » Les Aigles Ils sont douze sur le plateau de la potinière à revisiter les grands standards anglo-saxons. Douze soit le collectif les Tistics qui passent à la moulinette ce que nous hurlons... 
Critique •
Critique de Bruno Deslot – Un pédoncule d’où bruit un monde souterrain Une rencontre céleste, dans une chapelle du Morbihan, entre Yann-Fanch Kemener et Jean Lambert-Wild en 2005. Des parcours esthétiques différents mais une certaine idée poétique du monde assurément partagée, prolonge le long de l’ombelle,... 
Critique •
Critique de Pauline Decobert – Voici un spectacle extraordinairement riche tout en étant d’une simplicité remarquable. Bienvenue dans un monde où chaque chose fait signe, où chaque signe fait sens. Et tout cela sans lourdeur bien qu’avec une gravité sourde, qui darde parfois. Même le « s » de « Jungles »... 
Critique •
Critique de Bruno Deslot – Un spectacle dévorant Obtenant les Prix du jury et du Public du festival Impatiences en 2010 avec Le chagrin des ogres, Fabrice Murgia revient jouer dans la cour des grands pour donner un spectacle dans lequel toute la jeune génération s’est reconnue. Une petite fille, joue, enfin... 
Critique •
Critique de Solveig Deshamps – « Plume ou grain orageux sur toutes les zones » Ils nous faisaient tourner en bourriques ces deux là. C’est qu’ils en avaient sous la plume Bory et Charensol dans leurs offensives cinématographiques orageuses et critiques du dimanche soir sur France Inter. En 1964 Jean-Louis... 
Critique •
Critique de Djalila Dechache – Elle arrive sans bruit, souriante, sans se presser, sans que l’on s’y attende, hésite, court, repart, revient, passe juste la tête derrière le rideau du théâtre des Abbesses,comme si elle n’osait pas, se cache, espiègle elle fait durer l’instant, elle attend, on ne... 
Critique •
Critique de Audren Destin – El Rumor del incendio est un spectacle extrêmement dense, conçu à la manière d’un documentaire, sur l’histoire des luttes armées au Mexique des années 1960 jusqu’au années 80. Les auteurs de cette pièce retracent ainsi le parcours de ceux et celles qui, s’appuyant... 
Critique •
Critique de Camille Hazard – L’avant dernier spectacle du chorégraphe de DV8 Lloyd Newson To be straight with you (2007), posait la question de l’attitude des religions face à l’homosexualité. De ce spectacle et de différentes recherches, sont nés de nouveaux questionnements : Peut-on encore parler... 
Critique •
Critique de Denis Sanglard – Mefausti, de Damien Odoul s’inspire très librement, ô combien, du Docteur Faustus de Marlowe. Un regard à l’aune de notre siècle déliquescent ou l’individualisme et le scepticisme prévaut sur tout. Faust est désormais un philosophe désabusé qui ne croit ni en Dieu...