Critique de Bettina Jacquemin – Ces spectacles qui vous font aimer le théâtre… Il y a de quoi savourer du côté de la Comédie-Française ! L’Avare pose à nouveau sa « cassette » sur la scène de la salle Richelieu. Une mise en scène de Catherine Hiegel. Et, près de 3H de jouissance absolue ! Comment... 
Critique de Camille Hazard – Je te désire Tu me désires Il te désire… Jonathan et Latifa s’aiment, ils se sont offert aux regards dans un baiser incendiaire…Ce rapprochement amoureux  sera à l’origine de révélations, de témoignages éloquents de la part de tous les témoins. Ce baiser brûlant... 
Critique de Camille Hazard – Chansons traditionnelles de France et miroir d’Arabie La musique de Fawzy Al-Aiedy est un voyage intemporel à travers la culture de différentes régions françaises et à travers le monde arabe. La rencontre des instruments traditionnels régionaux comme la cornemuse, la vielle... 
Critique de Bruno Deslot – L’enfer de la guerre ! Un jeune homme de 23 ans, parti à la recherche de ses grands-parents en Croatie, découvre les horreurs de la guerre. L’arrogance de la jeunesse, la fougue du photographe intrigué et persuadé d’accomplir sa mission bascule bien rapidement dans une réalité... 
Critique de David C. – Nos jours de nos jours Le grand bourgeois Orgon s’est laissé subjuguer par Tartuffe dont il admire la foi profonde. Ce dernier n’est qu’un talentueux aventurier intéressé par la fortune de son admirateur. Malgré l’hostilité de sa propre famille, Orgon a fait... 
Critique de Patrice Martinez – Un fabuleux spectacle pour enfants Il est peu fréquent d’être le témoin de la métamorphose d’un chaperon rouge pas si petit que ça en cigale verte et d’un grand loup tout poilu mais pas vraiment méchant en fourmi de ménage. Saucissons l’occasion fabuleuse qui... 
Critique d’Anne-Marie Watelet – Lucidité, humour et renoncement : voici Mariette qui nous parle. Albert Cohen reçut le Grand Prix de l’Académie Française pour son roman Belle du Seigneur, paru en 1968. A l’origine de ce spectacle, c’est le coup de foudre d’Anne Quesemand pour la lecture vivante... 
Critique d’Anne-Marie Watelet – Bérengère Dautun a puisé le texte de sa pièce dans le récit éponyme de Rilke, écrit entre 1907 et 1911. Malte en est le protagoniste et narrateur. Dans ces morceaux choisis, elle a privilégié l’amour immodéré qu’il portait à sa mère. Si les deux personnages... 
Critique d’Audren Destin – La 4ème édition du festival Un automne à tisser a lieu du 10 septembre au 31 octobre 2010 au Théâtre de l’Epée de Bois. Sous le parrainage de Jean-Claude Penchenat, treize compagnies sont réunies autour d’un projet artistique. Une thématique s’en dégage, celle... 
Lecture de Dashiell Donello – L’incommunicabilité en marche « Je brûle cette écriture pour avoir à écrire demain‚ le sang et l’encre se jumellent‚ j’écris sur le sang et l’encre par-dessus les nuages violacés et le surlendemain il me faut brûler cette écriture pour apprendre à écrire... 
Les soeurs Chastain en dédicace à Liège
Une dédicae liègeoise !            Les soeurs Chastain vous attendent le 2 octobre à partir de 17h à la Boutique d’Hélène à Liège pour une dédicace de leur ouvrage Même pas vrai. Les soeurs Chastain, en se penchant sur le panthéon de Nadar, ont vite réalisé que ce photographe pionnier... 
Critique de Bruno Deslot – Une heure et demie à vivre ! Une heure et demie ! C’est le temps qui lui reste à vivre pendant que tout son royaume, cinq personnages, se divisent entre espoir et satisfaction face à l’inéluctable accomplissement du destin. Tout part à vau-l’eau dans ce royaume réduit... 
Critique de Dashiell Donello – Dan Jemmett, tel un habile prestidigitateur, met en scène à la Comédie Française, la pièce d’Eduardo De Filippo (1900-1984), La Grande Magie. L’action se passe dans les années 30, au Grand Hôtel Métropole. Le garçon d’hôtel, annonce, aux clients en mal de distraction,... 
Critique d’Audren Destin – Disons le simplement et sans détour, cette adaptation par Peter Stein du roman de Dostoïevski Les Démons est une pure merveille. 12 heures Balayons immédiatement les craintes, les doutes, les soupirs, les angoisses de ceux qui s’imaginent passer douze heures à mourir d’ennui...