© Elizabeth Carecchio
Love me tender. Les spectateurs entrent dans la salle, peu à peu, bavards, et sur scène un joyeux bordel, façon années 1970-1980, vous voyez… Et un homme seul, l’air pas aimable, qui ne bouge pas, attend. Enfin le noir, ça commence. Le plaisir, la joie, la drague et les éclats...