Critique • « Portrait Anna Seghers. » Écriture et mise en scène de Françoise Lepoix, au Théâtre de l’Opprimé
Critique de Jean Roissy Qu’est-ce que l’art d’hériter ? « Nous ne cherchons pas à connaître la couleur de ses yeux, mais comment changent les choses après qu’il y ait posé le regard » écrit Armand Gatti, à propos de Buenaventura Durruti (auquel il a consacré une pièce[1]). De même, ici, c’est... 
Critique• « Naz » de Ricardo Montserrat, adaptation et mise en scène de Christophe Moyer, à la Maison des Métallos
Critique d’Anne-Marie Watelet Un spectacle « coup de poing autour de la montée des mouvances extrémistes. Il est là sur le plateau qui nous attend, au milieu des quelques attributs-types du clan auquel il appartient : tee-shirts et joggings blancs suspendus; barre de muscu; miroir et sono assourdissante... 
Critique• « LE MONOLOGUE DE LA FEMME ROMPUE » de Simone de Beauvoir
Critique de Rachelle Dhéry Seule, sur la scène du Théâtre de l’Essaïon, Fane Desrues, assise sur une chaise posée dans l’angle droit d’un carré de craie blanc, vêtue d’une combinaison militaire et munie de bottes rouges de boxeur, s’apprête à mener un combat acharné de femme et de comédienne,... 
Critique • « le Fils » de Jon Fosse mis en scène par Jacques Lassalle au Théâtre de la Madeleine
Critique de Camille Hazard   Notes suspendues pour l’attente La Mère : « C’est sombre et noir en ce moment. » Le Père : « Oui très sombre,  Il ne fait presque plus jour du tout,  Un peu de demi-jour à midi sinon c’est sombre. »     Pour sa troisième rencontre avec l’écrivain norvégien... 
Critique • «  Les travaux et les jours »  de Michel Vinaver au Lucernaire
Critique Dashiell Donello La philosophie du pain quotidien Jamais un titre n’a été aussi révélateur, aussi parlant. Dites à voix haute les travaux et les jours…N’entendez vous pas résonner un peu de votre vie ? Ne ressentez-vous pas l’imminence d’une présence, d’un souvenir de soi ? Ce titre vient... 
Critique • « Gala, un caprice de Dali » Festival Cosmos Théâtre et la Musique de Russie au Théâtre de l’Atalante.
Critique de Djalila Dechache   Voici 7 ans que le théâtre de l’Atalante, dirigé par Alain-Alexis Barsacq accueille ce festival aussi inédit que très intéressant. C’est lui qui m’accueille après quelques mots échangés avec le responsable de l’événement Kirill Terr, bilingue. C’est très agréable... 
Article • « Même pas morte » mis en scène par Judith Depaule, au Théâtre J.Vilar de Vitry-sur-Seine.
Article de Djalila Dechache   Compagnie Mabel octobre, Judith Depaule Dans l’univers en arrière-plan 3D de sa petite chambre bien rangée, où chaque chose est à sa place, y compris le poisson rouge qui sautille sans cesse dans son bocal, la petite Vesna, 8 ans, n’arrive pas à dormir, elle réveille ses parents... 
Article • « Et puis nous passions le pantalon français...» par Philip Boulay au Forum Culturel de Blanc-Mesnil
Article de Djalila Dechache « L’important n’est pas ce que l’on fait de nous mais ce que nous faisons nous- même de ce qu’on fait de nous », c’est avec ces mots de Jean-Paul Sartre dans « Saint Genet, comédien et martyr » que Philip Boulay décrit la démarche entreprise auparavant avec les femmes... 
« Etre sujets dans son travail » à la Maison des Métallos,  les 19 et 20 avril 2012
Article de Djalila Dechache   Dans le cadre du temps fort (be) au boulot! : Un mois pour questionner le travail. Nicolas Frize, coutumier de créations inédites, appelle cela « un laboratoire public et ouvert » mais nul ne sait vraiment ce que c’est. Tout comme nul ne sait ce qui va se passer mais tout le monde... 
Critique • Promenade obligatoire de Anne Nguyen - Festival Hautes tensions - théâtre Paris-Villette
Critique de Jean-Christophe Carius Dystopie hip-hop C’est une société imaginaire en voie de déshumanisation et peuplée par des individus robotisés, enrégimentés par un état unique. Une contre-utopie ou, plus savamment, une dystopie, qui sert de trame de fond à “Promenade obligatoire”, le cinquième... 
Critique • «  Hiroshima mon amour »  de Marguerite Duras  au Théâtre des Abbesses
Critique de Denis Sanglard ©Mario Del Curto « Hiroshima mon amour » où la passion fulgurante de deux amants qui n’auraient jamais dû se rencontrer Au départ il y a le scénario de Marguerite Duras pour Alain Resnais en 1959. Aujourd’hui il y a la mise en scène de Christine Letailleur pour une « œuvre... 
Critique . « Quatre-vingt treize » de Victor.Hugo, mise en scène de Godefroy Segal, à la Maison de la Poésie
Critique d’André Antébi Considéré comme le testament politique de Victor Hugo, Quatre-vingt treize revient sur cette année terrible qui a vu la République naissante menacée par la guerre civile et les armées européennes.  Toute l’œuvre d’Hugo porte en elle une histoire de la révolution à travers... 
Critique • « Ce que j’appelle oubli » de Laurent Mauvignierin au Studio-Théâtre
Critique de Jean-Christophe Carius Rubrique des «  humains écrasés » Un homme est mort dans un supermarché à Lyon, en 2009. Il avait volé une canette de bière et des vigiles mal lunés l’ont roué de coups ayant entraîné la mort, à priori sans intention de la donner. Un fait divers macabre qui s’est... 
Critique • « Hans was Heiri » Zimmermann & de Perrot au Théâtre de la Ville
Critique de Dashiell Donello Danse avec l’espace ! Le brouhaha s’amplifie au lever du rideau. Un petit coin de boîte de nuit enfumée, une stridence de vinyle qui hoquette les Beatles ou Bagdad café et nous voilà « Jean comme Henri » au cirque-théâtre « Hans was Heiri », ce qui signifie à peu près...