Critique de Dashiell Donello – Dan Jemmett, tel un habile prestidigitateur, met en scène à la Comédie Française, la pièce d’Eduardo De Filippo (1900-1984), La Grande Magie. L’action se passe dans les années 30, au Grand Hôtel Métropole. Le garçon d’hôtel, annonce, aux clients en mal de distraction,... 
Critique d’Audren Destin – Disons le simplement et sans détour, cette adaptation par Peter Stein du roman de Dostoïevski Les Démons est une pure merveille. 12 heures Balayons immédiatement les craintes, les doutes, les soupirs, les angoisses de ceux qui s’imaginent passer douze heures à mourir d’ennui... 
Critique de David C. – J’aime Monsieur Samuel Beckett C’est un monde tellement réel qu’il n’a plus rien de reconnaissable. Dans ce monde, une femme, la cinquantaine, nommée Winnie est coincée jusqu’à la taille dans un mamelon rocheux et tranchant. Elle profite pleinement des... 
Critique de Dashiell Donello – Cabaret, à la manière de « la prochaine fois je vous le chanterai » « Avec la troupe de la Comédie-Française, j’ai voulu redonner vie à quelques-unes de ces chansons qui sont de petites pièces de théâtre, moqueuses ou tendres, farceuses ou mélancoliques, quelquefois... 
Critique de Monique Lancri – La Cerisaie est probablement la pièce la plus riche, la plus complexe d’Anton Tchekhov. D’où l’engouement pour elle des metteurs en scène, chacun voulant donner son interprétation d’un tel chef-d’œuvre. A commencer par Stanislavski, lequel, lors de la création... 
Critique de Bettina Jacquemin – Assurément touchant Comment ne pas se souvenir du film réalisé en 1979 par Robert Benton ? Kramer contre Kramer reste dans nos mémoires. Une interprétation magistrale (Dustin Hoffman et Meryl Streep) et un scénario adapté du roman écrit par Avery Corman. L’auteur raconte... 
Lecture de Dashiell Donello – Un petit Poucet de banlieue Il était une fois un jeune garçon qui s’appelait Bled. Il portait ce nom à cause de son grand-père, sans pays, qui avait le mal du bled. Dépourvus de logis, ses parents lui demandèrent de partir à la recherche d’une maison. – Je t’avertis,... 
Hommage à Jean-Louis Barrault
Le Théâtre du Rond-Point rend hommage à Jean-Louis Barrault             Le lundi 4 octobre à 19h, le Théâtre du Rond-Point rend hommage à Jean-Louis Barrault et Jean Vauthier. En 1981, la Compagnie Renaud-Barrault transporte son théâtre de la gare d’Orsay à la patinoire du Palais des Glaces :... 
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Critique de Evariste Lago – Intimité humide A mon âge, je me cache encore pour fumer prend corps en Algérie, dans un hammam pour femmes. Une journée ordinaire. Neuf femmes ordinaires. Neuf histoires. Le premier tableau apparaît comme une œuvre picturale s’inspirant du bain turc d’Ingres qui aurait... 
Critique de Dashiell Donello – Les lumières de la ville. Un panorama façon 35 mm. Quand on est l’auteur de « Préparez vos mouchoirs » (Oscar du meilleur film étranger en 1978), on ne se refait pas. Il y a toujours un clap qui traîne sur la scène et se substitue aux trois coups du théâtre. La... 
Critique de Denis Sanglard – Quatuor Nono est la maîtresse d’un riche oisif dont le meilleur ami, écrivaillon médiocre, tombe amoureux. Lui-même  est l’objet du harcèlement de sa riche et vieille maîtresse dont il n’a de cesse de vouloir rompre. Nono en l’absence provisoire du premier cède au... 
Critique de Denis Sanglard – Je suis comme je suis. Telle quelle et voilà. « Le mardi j’ai posé comme jour. Je ne sais pas bien pourquoi. C’est le jour où je viens pour faire tout ce qu’il ne fait pas. Tout ce qu’il laisse lentement filer. Je lui fais son ménage sa vaisselle sa lessive. Je range,... 
« Désolé pour la moquette... » de Bertrand Blier
Lecture de Dashiell Donello – Bertrand Blier n’avait plus écrit pour le théâtre depuis les Côtelettes (1997) avec Philippe Noiret et Michel Bouquet. Actes Sud édite sa deuxième pièces : Désolé pour la moquette… Qui se joue au théâtre Antoine-Simone Berriau depuis le 9 septembre 2010 à... 
Critique de Patrice Martinez – Une virée à Joinville. Tout le monde connaît l’histoire de Dom Juan, cet homme qui fait des ravages dans le cœur des femmes, qui occupe leur esprit et règne en maître sur leurs sens au point qu’elles en viennent à offrir l’un, à se débarrasser de l’autre et jouir...