article d’Anna Grahm
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Dans ce rêve éveillé, la langue de Shakespeare est oubliée, remplacée par des chants, idéogrammes, luth, gongs et percussions. Reste le souvenir de Lear, une trame et un incroyable dépaysement. Pour entrer dans cet état de veille, il faut changer de vitesse, fondre toutes les références...